Quelle journée pourri !

"Chez moi" : A 6h 30 du matin, à peine lever qu'il pleut déjà. Comme d'habitude, j'éteins mon réveil avec un beau coup de poing ... Shit ... il va falloir que j'en rachète un nouveau. Je me lève et il ne m'a fallu pas plus de une demi heure pour me doucher, me raser et m'habiller. Je descends au rez de chaussé et me dirige d'un pas leste vers la cuisine ou je me prépare un café, que je bois devant le journal du matin en tentant désespérément d'oublier que je vais devoir faire cours à une bande de singes agités par tous les diables dans une salle de classe ... too late je suis en train d'y penser. Ce qu'y donne à mon café un goût amer maintenant. Je regarde la pendule : 07h 45 m'indique maintenant cette garce. Si seulement je pouvais arrêter le temps ... Ou rendre ces gosses que je vais avoir dans 3 quart d'heure plus intelligents, plus sérieux et plus calmes ... En faite c'est même pas la peine de rêver It's impossible. Autant me jeter sous les roues de ma propre voiture, ce serait nettement plus réalisable que rendre ces gamins "matures".
08h 15 oops je n'ai pas vu l'heure passer, il faut que je me dépêche. Je mets ma tasse dans le lave vaisselle, mets mon manteau, prends ma sacoche, vais dans le garage, entre dans ma voiture, une jaguar noir -je l'adore-, allume le moteur et quitte le manoir.

"Au travail" : Je gare ma voiture sur le parking des prof, j'éteins le contacte et sors de cette boîte d'acier. J'entre dans le bâtiment et me dirige en salle des professeurs. Je salue les quelques collègues qui se trouvent encore ici, vérifie si j'ai des documents dans mon casier, puis sors pour rejoindre ma salle de cours. Quelques lycéennes, comme à leur habitude ridicules se mettent à chuchoter sur mon passage, elles croient que je ne les entends pas ? C'est raté pour elles. D'autres me saluent respectueusement, d'autres beaucoup plus aguichantes Bitches voilà à quoi parfois elles me font penser celles-ci, qui sont un peu trop entreprenantes à mon goût. La cloche retentit. Lorsque que j'arrive dans la classe, c'est le bordel, comme d'habitude. Je me dirige vers mon bureau et pose ma sacoche, le silence commence à se faire peu à peu.

" Good, sit down. "

Les élèves obéissent, quelques uns se sont remit à parler au fond de la classe. Je saisis deux craies, et les envoie à la tête des deux troubles fêtes.

" Silence ! "

Les projectiles atteignent leur cible, les deux gosses se retournent vers moi pour savoir d'où vient l'attaque et se taisent aussitôt sous la puissance du regard noir que je leur offre. Vous l'ai-je dis ? J'ai horreur du bruit. Et des crétins également. J'ouvre le carnet d'appel et commence à appeler chacun des élèves. Il semble y avoir le compte ... en faite non : il manque toujours ces cancres là.

Je me réveille en me frottant l'œil, cherchant l'interrupteur, jusqu'à ce que l'on entende un gros "SPAFF". Je me gamelle en me prenant le pied dans celui du lit, je me redresse en me tenant le dos, j'ai l'air d'un papi. Enfin, je trouve l'interrupteur. Je regarde ma montre; ça va il n'est que 9 heure, le couple qui m'héberge est parti au travail et me croit au lycée. Je téléphone à Luna pour savoir si elle veut se balader en ville avec moi en moto, mais, elle ne répond pas, je lui laisse un message, elle doit faire autre chose pour l'instant. Je me lave, déjeune, me brosse les dents, m'habille, me passe un coup de peigne bref, je me prépare quoi. Je mets mon casque de moto et je fonce acheter des fleurs. Plus précisément, de belles roses rouge sombre pour Luna, ses préférées, avec une petite carte avec la lune en gros plan dessus et à l'intérieur marqué bonne journée, il fait très beau en plus. Je les met dans mon top case et mets les gaz pour aller chez Luna, je frappe à la porte et lui tends les fleurs avec le sourire, ce qui n'arrive pas souvent.

je me baladais dans la rue, la tête dans les nuages et le regard pensant, quand deux jeunes hommes se mirent en ma compagnie. Un se mit devant moi et je l'esquivai, puis l'autre mit sa main sur mes fesses, ne sachant pas que la mienne allait se coller sur sa joue et qu'il allait décoller assez loin de moi, avant de prendre la fuite. Je repris mon chemin allant vers le collège.

-Merde je suis encore en retard!

Puis je poursuivis mon périple vers la salle de classe, quand des bruits de pas me firent sursauter et je me cachai dans un casier.

-Tu es sur que ta femme ne le sait pas ??

-Mais oui. Et puis, tu peux venir à la maison, elle est partie aux Chili et elle reviendra que le mois prochain, tu pourras même dormir à la maison si tu veux.

-Oui je veux, bien sur mais bon ... je dois filer. Bye bye mon chéri on se voit ce soir.

Oh mon dieu! C'était la prof de maths et le prof SVT! Je ne savais pas quoi faire, ils s'embrassèrent puis partirent. Je supposais qu'ils étaient loin, alors je sortis du casier, puis je sentis une mains se poser sur mon épaule. C'était le prof d'SVT.

-Mademoiselle Yui ! Que faites vous dans les couloir!

-Moi ?? Mais je rejoins ma classe pas comme vous je ne flirt pas avec ma collègue pour tromper ma femme...

-Ne dites rien et je ne dirai rien a votre professeur s'il vous plait !

Son regard pitoyable ne me faisais rien, mais je pouvais bien le faire chanter comme ça .

-Ok je ne dirai rien. Bonne journée monsieur!!

Puis je partis rejoindre ma classe et arrivée devant la porte je frappai, avant d'ouvrir pour aller m'assoir a ma place

-Bonjour monsieur le sadique !

Ce matin, quand je me suis réveillée, j'ai pus voir un mec, ou plutôt un ton par la fenêtre de ma chambre. Il avait l'air fatigué, ce qui me fais dire qu'il est resté là toute la nuit à me regarder.

-*Et merde, c'est le 5ème cette semaine qui mâte pendant que je dors. Il faudrait vraiment que j'achète de nouveaux rideaux ou même carrément des volets. Oh, ils finiront bien par comprendre ou se lasser !*

J'ouvris la fenêtre, il recula. Je m'assis sur le rebord de la fenêtre. Il vient vers moi croyant que je puisse tomber sous son charme. Il voulu me caresser la jambe, mais là, c'est mon pied qu'il touche, au moment où il heurta ses petites prunes.

-A ta place, je préférerai rentrer chez moi, soigner mes petites boules de billard et ne jamais revenir, à moins que je ne veuille le double de ce que j'ai déjà reçus.

Pour qu'il parte plus vite, vu qu'il était plié en deux et qu'il tournait en sautant sur lui même, lors ce qu'il eut tourné ses fesses vers moi, je lui rajouta l'un de mes coups de pied dans les fesses. Il partit en courant, un peu comme celui d'hier, quand je lui avais refermé la fenêtre sur les doigts.
Je fermai la fenêtre et allai dans le salon car j'entendais le téléphone sonné mais vu que ma maison a l'allure d'un château, il était trop trad, mais j'ai quand même put écouter le message, c'était Haru qui voulait se baladé avec moi. Un petit copain mignon, sympa, drôle, bref, parfait, mais sans doute un peu collant. Je me prépare lentement, puis, une heure après, quelqu'un frappe à la porte. J'ai tout de suite su que c'était Haru. J'ai ouvert la porte et je lui est sauté dans les bras. Au début, on n'a tous les deux je crois, eu un peu peur car en voilant le bouquet qu'il me tendait, j'ai crus 2 secondes que ce n'était pas lui, mais un non maudit. Quand à lui, il ne s'y attendait pas et a Faillit me repousser brutalement. Snif, pauvre de moi, se faire repousser par son petit copain, snif, juste a cause d'un reflex, snif. Bref, je suis allée vite fait manger une glace au chocolat et on a filé au collège.

-Oups, on est un peu en retard de quelques heures.

On ait allé frapper à la porte de monsieur Shouka, notre prof d'anglais.

Trente minutes plus tard ... Ces trois délinquants n'étaient toujours pas arrivés. Tant pis l'avantage en tous cas, c'est que le reste de la classe était sage et n'avait pas à supporter ou prendre exemple sur eux.
J'étais au troisième chapitre du bouquin d'anglais -un miracle, d'habitude nous ne dépassions pas le premier- lorsque j'entendis le début de l'apocalypse dans le couloir. On frappa à la porte, puis sans que j'en ai donné l'autorisation la première des trois bordélique débarqua et alla s'assoir à sa place.

" Bonjour monsieur le sadique ! "

Kuro Yui, petite avec une grosse tignasse rousse qui lui servait de cheveux, sur le coup j'ai brisé ma craie lorsqu'elle m'a sorti ses salutations. Je vous jure, un jour je la balancerai par la fenêtre et je n'en tirerai aucun remord. Les élèves se taisaient, pratiquement horrifiés que cette gamine m'est appelée comme ça et pour cause.
Je me suis retourné lentement vers la fauteuse de trouble, mais je n'eus pas le temps d'ouvrir la bouche que la porte se rouvrait sur les deux autres cancres, qui allèrent tranquillement s'installer à leur place.
J'eus un sourire crispé. J'ai enlevé mes lunettes, je les est essuyées avec un mouchoir que j'avais dans ma poche.

" Mlle Yui, je pense que vous devez vous dire qu'il n'est incorrecte de parler comme cela à un de vos professeurs, mlle Nairu et mr Igaru, je suppose que c'est également tous naturel pour vous de rentrer comme ça dans une salle de classe comme dans un moulin, mais tous les trois vous vous trompez fortement et vous n'êtes nullement excusés de votre retard, donc vous ne verrez aucun inconvénient à recevoir chacun une heure de colle -séparément bien entendu, je ne souhaite pas avoir cette foire-. Maintenant, je ne veux plus vous remarquer de tous le cours et vous viendrez chercher vos heures à la fin du cours et maintenant, reprenons le cours ... "

J'avais déballé mon petit monologue habituel tout en remplissant en à peine deux minutes les trois billets pour les heures de colles et je les disposai sur mon bureau avant dans reprendre là où j'en étais avant que le bordel ne s'installe dans ma classe. Le silence régnait dans ma salle et j'avais pratiquement finis le chapitre trois, lorsque je me suis retourné vers les élèves.

" Hm mlle Yui, ou mlle Nairu ou encore mr Igaru, peu importe. L'un de vous peut il me lire le paragraphe six et me l'expliquer ? "

C'était bizarre à quelle point je sentai que cela allait être un vrai fiasco ...

- Mlle Yui, je pense que vous devez vous dire qu'il n'est incorrecte de parler comme cela à un de vos professeurs, mlle Nairu et mr Igaru, je suppose que c'est également tous naturel pour vous de rentrer comme ça dans une salle de classe comme dans un moulin, mais tous les trois vous vous trompez fortement et vous n'êtes nullement excusés de votre retard, donc vous ne verrez aucun inconvénient à recevoir chacun une heure de colle -séparément bien entendu, je ne souhaite pas avoir cette foire-. Maintenant, je ne veux plus vous remarquer de tous le cours et vous viendrez chercher vos heures à la fin du cours et maintenant, reprenons le cours ...

- Oui monsieur trucidateur!

Puis elle pensa vaguement au dernier prof qui avait démissionné. Elle ne l'aimait pas vraiment lui >.>

- Hm mlle Yui, ou mlle Nairu ou encore mr Igaru, peu importe. L'un de vous peut il me lire le paragraphe six et me l'expliquer ?

- Oui je vais m'y coller. Bon, c'est partie. I would have wanted to be with you when you were in the thought
Of God,
When your mother conceived you and was nourishing of her life,
I would have wanted to be with you the first time when you divided
The forms, Ies colors and sounds,
In your first tear, in your first enjoyment, I would have wanted
Be with you,
With you in your childhood, in your adolescence, following
Closely the changes of your physical appearance.
In your first modesty, as in your first caress,
I would like to be with you at the moment of the departure of your soul,
Of the decomposition of your pulpit of your brain, of your
Mouth and of your sex,
So that I can continue with you in the World(Monde) without
Space and without Time(Weather).Vous voyez je l'ai fais les doigts dans le nez.

Kuro regarda les autres, qui étaient impressionnés devant elle. De toute façons elle était bonne en anglais alors ça ne lui faisait rien. En plus elle connaissait ce poème depuis toute petite puis, elle regarda le prof d'un air de défi.

- Les donnés sont en Français donc je vais vous les donner en Anglais Poem of Adalgisa nery ( brésil )voilà!

Puis elle attendit une réponse directe.

" Oui je vais m'y coller. Bon, c'est partie. I would have wanted to be with you when you were in the thought Of God,When your mother conceived you and was nourishing of her life, I would have wanted to be with you the first time when you divided. The forms, Ies colors and sounds, In your first tear, in your first enjoyment, I would have wanted Be with you, With you in your childhood, in your adolescence, following Closely the changes of your physical appearance. In your first modesty, as in your first caress, I would like to be with you at the moment of the departure of your soul, Of the decomposition of your pulpit of your brain, of your Mouth and of your sex, So that I can continue with you in the World(Monde) without Space and without Time (Weather).Vous voyez je l'ai fais les doigts dans le nez. "

" Les donnés sont en Français donc je vais vous les donner en Anglais Poem of Adalgisa nery ( brésil )voilà! "

Je restai là, à regarder cette petite rouquine impertinente le visage impassible. Elle avait voulu s'amuser à jouer les petites prétentieuses et elle avait perdu. D'accord, elle avait lu le texte, mais tous le monde savait faire ça, il n'y avait pas de quoi en faire un steak, et pourtant elle semblait si sur d'elle, avec son air blasé à tenter de me regarder de haut. Pathétique au point que j'étais en train de pousser un soupire.

" Je vois que vous savez lire mlle Yui, mais tous le monde sait faire ça, désolée de vous vexer. De plus, j'ai également demandé que l'on explique le texte, mais vous étiez surement tellement perdue dans votre victoire que vous l'avez surement oublié. "

Quelques rires retentirent dans la classe après que j'eusse finis ma remarque.

" Mr Igaru, voulez vous bien expliqué ce que signifie le poème que vient de lire votre camarade à toute la classe. "

-Je vois que vous savez lire mlle Yui, mais tous le monde sait faire ça, désolée de vous vexer. De plus, j'ai également demandé que l'on explique le texte, mais vous étiez surement tellement perdue dans votre victoire que vous l'avez surement oublié.

-Mr Igaru, voulez vous bien expliqué ce que signifie le poème que vient de lire votre camarade à toute la classe.

Kuro avais le regard en feux elle n'en pouvais plus elle regarda les élève qui rigolaient puis se leva

-LA FERME!! je peut vous dire la traduction sans regarder !! si vous ne croyez pas alors je vous la donne tout de suite.

Kuro se leva puis alla déposé avec une délicatesse immense les cahier puis se tourna verre les élevés

-J'aurais voulu être avec toi quand tu étais dans la pensée de Dieu,
Quand ta mère t'a conçu et nourri de sa vie,
J'aurais voulu être avec toi la première fois que tu as divisé les formes,
Les couleurs et les sons,
A ta première larme, à ta première joie,
J'aurais voulu être avec toi,
Avec toi dans ton enfance, dans ton adolescence,
Suivant de près les changements de ton physique.
Dans ta première pudeur, comme dans ta première caresse,
Je voudrais être avec toi à l'instant du départ de ton âme,
De la décomposition de ta chaire de ton cerveau, de ta
bouche et de ton sexe,
Afin que je puisse continuer avec toi dans le Monde
Sans Espace et sans Temps.
poeme d'adalgisa nery (brésil) contant ??

Puis elle alla se rassoir avec énervement et fit un clin d'œil a Haru et Luna.

Après l'exploit qu'avait accomplie Kuro je me sentais un peu ridicule du fait qu'elle est fait ça aussi simplement. Car j'avais beau être un sur-doué dans les autres matières, l'anglais me restait une langue totalement étrangère, tout comme les cours de M.Shouka. Ses paroles dans ma tête résonnaient comme des "blabla..." incessant. J'ai finalement fini par m'endormir sur ma table. Une demi-heure après, Luna m'a réveillé doucement car le prof me regardait d'un regard inquiétant qui me fit sur-sauter. J'étais peut être au fond de la salle, mais ça n'a pas empêché la moitié de la classe de se retourner pour étouffer des rires moqueur, pas méchants mais très vexant.
La cloche qui annonce la fin du cours sonne. Tous les élèves se sont précipité pour sortir sauf Kuro, Luna et moi qui sommes resté pour recevoir notre heure de colle.

- Excusez nous msieurs, on a eut des empêchement et puis ba heu...

Son regard me disait qu'il valais mieux que je me taise si je ne voulais pas aggraver les choses.

Je restai de marbre devant une telle explosion de fureur de la part de la jeune demoiselle Yui tout en relevant un sourcil. Quelle puérilité je vous jure ! Cette jeune fille manquait sérieusement de manière, personne ne lui avait apprit le bon comportement en société ? Mais où va la jeunesse de nos jour; Et le pire dans tout ça : C'est qu'elle n'avait toujours pas répondu à la question demandée !!! J'inspirai profondément pour me calmer et m'empêchai fermement de ne pas envoyer valser le bureau qui se trouvait devant tant d'impertinence et c'est d'une voie modérée mais vibrante de colère soutenue que je répondis, tout en ayant le sourcil droit qui ne cessait de tressauter sous l'énervement.

" Vous n'y êtes toujours pas mlle Yui. Je vous répète encore une fois -car il semblerait que votre cerveau ne veuille point intercepter l'information- que je demande qu'on explique le texte, pas qu'on me le lise ou que l'on le traduise. Votre intervention est encore une fois hors sujet. De plus, votre réaction des plus puérile n'est pas acceptable pendant mon cours. Vous pouvez peut être admise par vos autres professeur, mais pas par moi et par conséquent, je vous rajoute une nouvelle heure de colle. "

Je lançai un regard noir à la fauteuse de trouble, personne n'osait broncher de peur de se voir coller également. Il n'y avait pas à dire, j'étais d'humeur massacrante et le premier qui ferait un pas de travers se retrouverait collé, ils avaient donc raison, par conséquent, de se méfier de moi. Silence de mort dans la classe, personne ne bougeait plus un petit doigt, jusqu'à ce que je remarque un mouvement au fond de la salle. Et bien ça faisait longtemps que je ne l'avait pas entendu broncher celui la. Haru Igaru était en train de piquer un petit somme sur sa table, comme si mes cours n'était pas assez intéressante pour lui pour daigner écouter. Si un regard pouvait tuer, cela ferait depuis longtemps que j'aurai fait griller sur place le dormeur. Mlle Nairu finit même par remarquer que je fixait son compagnon de façon meurtrière et elle finit par le réveiller. Et c'est pratiquement comme si il avait changé de couleur en remarquant que je l'observais avec intensité.

" Alors comme ça mon cours est si inintéressant pour vous pour que vous vous permettiez de dormir en classe mrs Igaru ? Ne vous inquiétez pas, vous aurez tout le temps de rattraper votre sommeil pendant la deuxième heure de colle que je vous donne. "

Quand je disais que j'étais d'humeur massacrante aujourd'hui. Je récupérai la feuille des heures de colle où j'avais déjà noté une heure pour mlle Nairu, Yui et mrs Igaru et rajoutai une heure supplémentaire au deux derniers, avant de reprendre mon cours et de reposer ma question qui attendait toujours sa réponse à un autre élève qui -Miracle !- répondit comme je l'attendais. Il n'y a donc pas que des illettrés dans cette classe, c'est rassurant.

La sonnerie finit par retentir et tout les élèves se précipitèrent dehors comme une horde de mammouth enragés et pressé d'échapper à mon caractère meurtrier. Seul restait dans ma classe les trois cancres qui vinrent à mon bureau.

" Excusez nous m'sieurs, on a eu des empêchements et puis bah heu...

Mes yeux n'étaient plus que deux fentes meurtrières qui lançaient des éclaires. Mon sourire qui illuminait mon visage, reflétait toute le sadisme avec lequel je prenais un malin plaisir à les coller.

" Vraiment ? Des empêchements ? Quels genre d'empêchement ? "

Pas de réponse de leur part, ce qui me confortais dans l'idée que j'avais raison, même si on pouvait dire que je n'attendais pas de réponse de leur par et que je les en empêchaient quelque peu parce que je continuais toujours de parler.

" Bon, mlle Nairu vous n'avez qu'une heure de colle, ce qui n'est pas le cas de vos deux autres compagnons qui en auront deux. Vous pouvez partir en cours, votre heure sera mercredi après midi pour vous trois, sauf que comme mrs Igaru et mlle Yui en ont deux, vous viendrez me voir à la fin de la journée pour commencer votre heure de colle. "

Sur ce, je les congédiai pour qu'ils retournent à leurs autres cours et fit entrer mon autres groupe de singes braillant pour une nouvelle heure de cours exténuante. Je refit se même shema toute la journée et quand la cloche de la fin des cours retentit pour de bon et que les élèves partirent pour rentrer chez eux, je crus que j'allais être enfin délivré, jusqu'à ce que je me rappel que je devait encore gérer mlle Yui et msr Igaru pendant leur heure de colle. Je poussai un soupir et attendit leur venu en écrivant des exercice sur le tableau blanc; qu'ils devraient résoudre. La porte s'ouvrit sur les deux jeunes gens, je ne tournai même pas la tête vers eux.

" Vous voilà enfin ! Prenez une feuille et mettez vous directement à travail. Si il y en a un de vous deux qui bronche, je lui arrache la tête sur le champs et le colle pour toute la matinée de samedi. Est ce bien claire ? "

Lorsque nous revinrent dans la salle du prof après les cours, les élèves sortirent sans nous regarder. Quelle bande de trouillards. Je m'avançai devant le bureau de Mr Shouka.

- Vous voilà enfin ! Prenez une feuille et mettez vous directement à travail. Si il y en a un de vous deux qui bronche, je lui arrache la tête sur le champs et le colle pour toute la matinée de samedi. Est ce bien claire ?

De l'ongle crochu de mon index j'écorchais le bureau de bois du prof, faisant le tour du bureau pour arriver a 10cm de Mr Shouka.

- Excusez moi, mais je n'ai vraiment pas envie de faire ça.

Dis-je en pointant de mon doigt crochu, la feuille que celui ci lui tendait. Puis je jetai un regard à Haru, (qui me semblait limite apeuré)lui montrant du regard la porte. (Et oui, j'avais un plan et un bon plan)Je jubilais intérieurement. Ça avait marché pour tous les autres prof et celui la n'en n'était qu'un autre exemplaire. Puis après il y avait les blablas habituels : "Attention Mlle Yui et très difficile à maintenir!" ect. Je reregarder Mr Shouka et mis mon doigt sur son torse.

- Je ne vous fait pas même un petit effet ?

Et je mis ma jambe entre celles de Mr Shouka.

Non mais elle se prenait pour qui cette gamine de Kuro Yui, à jouer les impertinentes !? "Je n'ai pas envie de faire ça." Non mais qu'est ce que cela voulait signifier ? Je sais ce que cela veut dire, je ne suis pas un idiot quand même, mais est ce qu'elle croyait vraiment que cela allait marcher avec moi ? Elle se mettait le doigt dans l'œil cette effrontée. Ce n'était pas parce que les autres professeurs craignait son comportement égoïste et puéril que j'allais laisser couler parce que c'était mlle Yui non pour qui elle se prenait, c'est moi qui donne les ordres ici, pas l'inverse ! Et voilà que je recommençai à m'énerver. C'est toujours comme ça, lorsque je voyais sa tête rousse, la moutarde me montait au nez tellement elle dégageait un aura de fierté non dissimulé qui m'horripilais au plus haut point.

" Je ne vous fais pas même un petit effet ? "

Pardon ? C'était quoi cet air aguicheur qu'elle prenait tout d'un coup ? Elle se colla contre moi et mit sa jambe entre les miennes. J'affichais un air de dégout profond sur mon visage. Ah non, elle ne me faisait pas d'effet du tout avec cet air là. Elle avait même réussi à coupé tous mes effets. Enfin, si j'en avais eu bien sur. Alors comme ça elle pensait pouvoir échapper à ses heures de colles avec ses charmes ? Vu son expression qui reflétait le fait qu'elle soit sur d'elle, c'est que cela avait dut marcher avec ses autres professeurs et j'en fut d'autant plus dégouté. C'était une honte pour des professeurs de céder à ce genre d'avance de la part d'une gamine qui ne veut pas faire sa punition, qui est pourtant très bien méritée.

" Je suis désolé pour vous mlle Yui, mais la pédophilie me répugne. "

C'était la pur vérité, comme je l'ai fait remarquer plus haut, puis un sourire cruel se dessina sur mes lèvres, venant d'avoir une idée qui pourrait peut être l'arrêter à avoir ce genre de comportement et je me penchait plus près de la demoiselle et me retrouvait très près de son visage.

" D'autant plus que je ne suis pas quelqu'un de très doux avec mes partenaires, j'ai tendance même à être assez violent parfois, pour que ces mesdames ne puissent plus s'asseoir pendant une semaine tellement elles souffrent de ce que je leur ai infligé. "

Ces mesdames, ou ces messieurs d'ailleurs, je ne fais strictement aucune différence entre les deux sexes quand il s'agit de baise. Je me penchait encore plus vers la rouquine, l'obliger à se cambrer en arrière, puis posai mes mains sur mon bureau de chaque côté de la demoiselle. Je comptais bien lui faire peur, par ce qui était la stricte vérité.

" Et puis même si j'avais été excité par une gamine comme vous, je n'aurai pas besoin de votre autorisation pour vous prendre et de vous baiser quand je le souhaite. Après tout je suis un adulte comparé à vous qui n'êtes qu'une adolescente, j'ai bien assez de force pour vous contraindre et vous violer. Méfiez vous mlle Yui, vous pensez que vos charmes sont une redoutable arme que vous pouvez manier comme vous le souhaitez, mais cette arme est à double tranchant et vous pourriez très vite vous retrouvez coincée dans une ruelle par des personnes peu recommandable qui ont également été attirés par ces même charmes. "

Je me redressai d'un coup sec, lui lançant un regard méprisant.

" Le chantage ne marche pas avec moi mlle Yui, donc maintenant je vous prierai de retirer votre jambe d'entre les miennes et d'aller faire votre travail comme je vous l'ai demandé et je fermerai peut être les yeux sur votre comportement d'à l'instant. "

Je souris à nouveau, je ne pouvais pas m'empêcher de la provoquer. Mais bon, de toute façon il fallait que je la remette à sa place, si elle ne voulait pas finir au fond d'un caniveaux. Mais la tentation de la provoquer était bien trop grande, après le cirque qu'elle venait de faire.

" Et puis je dois ajouter, les personnes inexpérimentées comme vous ne sont pas très intéressantes au lit. Maintenant si vous vouliez bien aller faire votre travaille, comme mr Igaru... "